Vaccin H1N1 : premiers coups de seringues médiatisés à Necker

Publié le 20 oct. 2009 à 23h52

Biographie

- Professeur agrégé du Val-de-Grâce, professeur invité à l'Université de Bordeaux.

Liens d'intérêt

- Aucune perception de rémunération ou de tout autre avantage de l'industrie pharmaceutique.
- Aucun investissement financier dans une firme pharmaceutique.
- Aucune participation à des études cliniques de vaccins.
- Aucune rémunération ou avantages reçus de l'industrie pharmaceutique.
- Déclaration mise à jour le 12 avril 2023.

PARIS — "C'était juste une caresse" : Pierre Carli, chef du Samu de Paris, cherche à rassurer sur le mode humoristique lors des premières injections très médiatisées du vaccin contre la grippe H1N1, mardi à l'hôpital Necker à Paris. Mais le Pr Carli redevient vite sérieux : "Dans les hôpitaux de l'Assistance publique, il y a 6 patients graves en réanimation, dont deux en assistance circulatoire. Parmi ces 6 patients il y a deux enfants, dont un n'a absolument aucune maladie chronique", assène-t-il.