Rubéole
La rubéole est une maladie très généralement bénigne, asymptomatique dans près de 50 % des cas. Mais l’infection par le virus pendant les premiers mois de la grossesse peut être responsable de morts foetales ou de rubéoles congénitales malformatives.
Dans la perspective d’une élimination de la rubéole congénitale en France, le vaccin anti-rubéoleux a été introduit auprès des jeunes filles dès 1970, puis dans le calendrier vaccinal du nourrisson en 1983 en association avec la rougeole puis avec les oreillons trois ans plus tard (vaccin triple rougeole-oreillons-rubéole : ROR).
En 2005, dans le cadre du plan d’élimination de la rougeole et de la rubéole congénitale en France 2005-2010, de nouvelles mesures vaccinales ont été préconisées avec notamment un rattrapage avec la vaccination triple de toutes les personnes nées à partir de 1980. Ces mesures ont permis d’augmenter la couverture vaccinale anti-rubéoleuse des femmes en âge de procréer.
Transmission
L’homme est le seul hôte connu. Le virus de la rubéole se transmet par contacts inter-humains directs par les sécrétions rhinopharyngées expulsées par les personnes infectées. Il existe une possible transmission indirecte par des objets et des surfaces fraichement souillés par des sécrétions rhino-pharyngées. Les urines infectées peuvent être source de transmission en cas de rubéole congénitale.
La gravité de la maladie est liée au passage transplacentaire du virus en cas d’infection d’une femme enceinte pendant les premiers mois de la grossesse. La période de contagiosité s’étend approximativement de 7 jours avant l’éruption à 14 jours après mais la contagiosité est maximale entre 5 jours avant et 6 jours après l’éruption. Les enfants atteints de rubéole congénitale excrètent du virus pendant plusieurs mois. L'incubation, de 16 jours à 18 jours en moyenne , va de 14 jours à 23 jours.
Clinique et diagnostic
Lorsqu’elle est symptomatique (50 % des cas), la maladie débute par une fièvre modérée (38,5°C) suivie d'une éruption maculeuse (tâches rouges sans relief) ou maculo-papuleuse (les papules sont surélevées à la palpation) fugace morbilliforme (c'est-à-dire simulant celle de la rougeole, avec des macules et des papules pouvant confluer en plaques séparées par des intervalles de peau saine) débutant au visage pour s'étendre en moins de 24 heures au tronc et aux membres supérieurs. Elle disparait sans laisser de traces au troisième jour. L'apparition précoce d'adénopathies (ganglions hypertrophiés) rétroauriculaires (derrière les oreilles) et cervicales postérieures persistantes (arrière du cou) est assez caractéristique.
Les complications sont rares, plus fréquemment observées chez les adultes ou les adolescents : atteintes articulaires (polyarthralgies et polyarthrites), neurologiques (méningo-encéphalites), thrombopénie. La mortalité est quasi nulle. L'immunité résiduelle est définitive.
Le traitement est symptomatique.
Le diagnostic de rubéole ne peut être confirmé que grâce aux examens biologiques et la sérologie doit être interprétée en fonction du contexte clinique et des antécédents vaccinaux. En présence d'une éruption ou après contage, la confirmation biologique repose sur :
- la mise en évidence de l’ARN viral par PCR ("polymerase chain reaction ou amplification génique, une méthode qui permet de détecter le génome du virus) réalisable uniquement par des laboratoires spécialisés) ;
- la mise en évidence d'IgM (sorte d'anticorps d'apparition précoce au cours de la maladie) spécifiques (associés ou non à des IgG, un autre type d'anticorps) et en cas de positivité la réalisation de l’avidité des IgG (en raison de l’existence de nombreux faux positifs ; l'avidité exprime la force de la liaison antigène-anticorps) ;
- la séroconversion ou l’augmentation significative du titre des IgG ou totaux spécifiques de la rubéole dans deux échantillons biologiques réalisés à 10 jours d'intervalle, confirmée par la réalisation de l’avidité des IgG.
En cas de passage transplacentaire du virus pendant les premiers mois de grossesse, le risque de malformations congénitales est très élevé (de 70 % à 100 %) quand la primo-infection maternelle survient avant 11 semaines d’aménorrhée (SA) ; il varie de 15 % à 80 % entre la 12e et la 18e SA pour devenir quasi nul après ce délai. Le passage transplacentaire du virus peut être responsable de mort foetale ou d'une rubéole congénitale malformative ou asymptomatique. L’atteinte au cours de l’embryogenèse se traduit par des malformations du système nerveux central, de l'oeil, de l'oreille interne, de l'appareil cardiovasculaire, isolées ou diversement associées. La foetopathie se caractérise par un retard de croissance intra-utérin souvent associé à une hépatosplénomégalie, un purpura thrombopénique et une anémie hémolytique. Les enfants atteints d’un syndrome de rubéole congénitale peuvent présenter une déficience auditive, des malformations oculaires et cardiaques et ultérieurement des maladies de type auto-immune (diabète sucré, dysfonctionnement de la thyroïde).
Prévention et vaccination
Les sérologies sont inutiles pour les personnes ayant reçu deux doses de vaccin (voir les recommandations vaccinales ci-dessous). Si les résultats d’une sérologie confirmant l’immunité de la femme vis-à-vis de la rubéole sont disponibles, il est inutile de la vacciner. Il n’y a pas lieu de revacciner des femmes ayant reçu deux doses de vaccins quel que soit le résultat de la sérologie. Pour les femmes avec une sérologie prénatale (dépistage obligatoire des IgG depuis 1992) négative ou inconnue, il est recommandé de faire la vaccination immédiatement après l’accouchement (vaccin vivant contre-indiqué pendant la grossesse).
Les recommandations vaccinales
En France, la vaccination contre la rubéole est réalisée avec un vaccin trivalent, protégeant également contre la rougeole et les oreillons (vaccin ROR).
Une loi, en vigueur depuis le 1er janvier 2018, rend cette vaccination obligatoire avant l'âge de 18 mois. Elle est exigible pour l’entrée ou le maintien en collectivité à partir du 1er juin 2018 pour tout enfant né à partir du 1er janvier 2018.
Les recommandations générales
Tous les enfants, à l’âge de 24 mois, devraient avoir reçu 2 doses du vaccin ROR.
La première dose est recommandée à l’âge de 12 mois et la deuxième entre 16 et 18 mois (respecter un délai d’au moins 1 mois entre les deux vaccinations). Cette seconde vaccination ne constitue pas un rappel, l’immunité acquise après une première vaccination étant de longue durée. Elle constitue un rattrapage pour les enfants n’ayant pas séroconverti, pour un ou plusieurs des antigènes, lors de la première vaccination.
La deuxième dose peut être administrée plus tard si elle n’a pu être effectuée au cours de la deuxième année. Cette seconde dose est recommandée pour toutes les personnes nées depuis 1980 (avis du11 février 2011, publié le 4 mars 2011). Auparavant, cette deuxième dose n'était recommandée que pour les personnes nées depuis 1992.
La vaccination est gratuitejusqu'à l'âge de 17 ans révolus depuis octobre 2010.
Les recommandations professionnelles
Les personnes nées avant 1980, non vaccinées et sans antécédent connu de rougeole ou de rubéole, qui exercent des professions de santé en formation, à l’embauche ou en poste, devraient recevoir une dose de vaccin trivalent rougeole-rubéole-oreillons. Les personnes travaillant dans les services accueillant des patients à risque de rougeole grave (immunodéprimés) devraient être vaccinées en priorité. Les professionnels en charge de la petite enfance devraient aussi recevoir une dose de vaccin trivalent rougeole-oreillons-rubéole. Pour l’ensemble de ces personnels dont les antécédents de vaccination ou de rougeole sont incertains, la vaccination peut être pratiquée sans qu’un contrôle sérologique préalable soit systématiquement réalisé.
Le schéma vaccinal
- enfants âgés de 12 à 24 mois : 1 dose du vaccin ROR à 12 mois et une 2ème dose entre 16 et 18 mois ;
- les sujets nés depuis 1980 et âgés de plus de 24 mois : 2 doses de vaccin ROR ;
- sujets nés avant 1980 : 1 dose de vaccin ROR.
Les données épidémiologiques
En France, la rubéole n’est pas surveillée en population générale jusqu'en mai 2018 mais, du fait de la gravité de la rubéole lorsqu’elle est contractée au cours de la grossesse, une surveillance nationale des infections rubéoleuses materno-foetales a été instaurée dès 1976 (Réseau Renarub). Elle reposait sur le réseau des laboratoires de biologie médicale et ce sont les résultats de cette surveillance qui sont exposés ci-après. La vaccination a permis de diminuer de manière importante les atteintes rubéoleuses au cours de la grossesse avec, au cours de ces dernières années, une diminution nette du ratio infections rubéoleuses en cours de grossesse sur le nombre de naissances vivantes, par an.
En application du décret n° 2018-342 du 7 mai 2018 paru dans le Journal officiel du 10 mai 2018, la rubéole rejoint la liste des maladies pour lesquelles la transmission de données individuelles de signalement ou de notification à l'autorité sanitaire est obligatoire (habituellement désignées sous le terme de "maladies à déclaration obligatoire)". Un arrêté publié conjointement présente une fiche modèle pour la déclaration.
Les données de couverture vaccinale
La rubéole est une maladie très généralement bénigne, asymptomatique dans près de 50 % des cas. Mais l’infection par le virus pendant les premiers mois de la grossesse peut être responsable de morts foetales ou de rubéoles congénitales malformatives.
Dans la perspective d’une élimination de la rubéole congénitale en France, le vaccin anti-rubéoleux a été introduit auprès des jeunes filles dès 1970, puis dans le calendrier vaccinal du nourrisson en 1983 en association avec la rougeole puis avec les oreillons trois ans plus tard (vaccin triple rougeole-oreillons-rubéole : ROR).
En 2005, dans le cadre du plan d’élimination de la rougeole et de la rubéole congénitale en France 2005-2010, de nouvelles mesures vaccinales ont été préconisées avec notamment un rattrapage avec la vaccination triple de toutes les personnes nées à partir de 1980. Ces mesures ont permis d’augmenter la couverture vaccinale anti-rubéoleuse des femmes en âge de procréer.
Transmission
L’homme est le seul hôte connu. Le virus de la rubéole se transmet par contacts inter-humains directs par les sécrétions rhinopharyngées expulsées par les personnes infectées. Il existe une possible transmission indirecte par des objets et des surfaces fraichement souillés par des sécrétions rhino-pharyngées. Les urines infectées peuvent être source de transmission en cas de rubéole congénitale.
La gravité de la maladie est liée au passage transplacentaire du virus en cas d’infection d’une femme enceinte pendant les premiers mois de la grossesse. La période de contagiosité s’étend approximativement de 7 jours avant l’éruption à 14 jours après mais la contagiosité est maximale entre 5 jours avant et 6 jours après l’éruption. Les enfants atteints de rubéole congénitale excrètent du virus pendant plusieurs mois. L'incubation, de 16 jours à 18 jours en moyenne , va de 14 jours à 23 jours.
Clinique et diagnostic
Lorsqu’elle est symptomatique (50 % des cas), la maladie débute par une fièvre modérée (38,5°C) suivie d'une éruption maculeuse (tâches rouges sans relief) ou maculo-papuleuse (les papules sont surélevées à la palpation) fugace morbilliforme (c'est-à-dire simulant celle de la rougeole, avec des macules et des papules pouvant confluer en plaques séparées par des intervalles de peau saine) débutant au visage pour s'étendre en moins de 24 heures au tronc et aux membres supérieurs. Elle disparait sans laisser de traces au troisième jour. L'apparition précoce d'adénopathies (ganglions hypertrophiés) rétroauriculaires (derrière les oreilles) et cervicales postérieures persistantes (arrière du cou) est assez caractéristique.
Les complications sont rares, plus fréquemment observées chez les adultes ou les adolescents : atteintes articulaires (polyarthralgies et polyarthrites), neurologiques (méningo-encéphalites), thrombopénie. La mortalité est quasi nulle. L'immunité résiduelle est définitive.
Le traitement est symptomatique.
Le diagnostic de rubéole ne peut être confirmé que grâce aux examens biologiques et la sérologie doit être interprétée en fonction du contexte clinique et des antécédents vaccinaux. En présence d'une éruption ou après contage, la confirmation biologique repose sur :
- la mise en évidence de l’ARN viral par PCR ("polymerase chain reaction ou amplification génique, une méthode qui permet de détecter le génome du virus) réalisable uniquement par des laboratoires spécialisés) ;
- la mise en évidence d'IgM (sorte d'anticorps d'apparition précoce au cours de la maladie) spécifiques (associés ou non à des IgG, un autre type d'anticorps) et en cas de positivité la réalisation de l’avidité des IgG (en raison de l’existence de nombreux faux positifs ; l'avidité exprime la force de la liaison antigène-anticorps) ;
- la séroconversion ou l’augmentation significative du titre des IgG ou totaux spécifiques de la rubéole dans deux échantillons biologiques réalisés à 10 jours d'intervalle, confirmée par la réalisation de l’avidité des IgG.
En cas de passage transplacentaire du virus pendant les premiers mois de grossesse, le risque de malformations congénitales est très élevé (de 70 % à 100 %) quand la primo-infection maternelle survient avant 11 semaines d’aménorrhée (SA) ; il varie de 15 % à 80 % entre la 12e et la 18e SA pour devenir quasi nul après ce délai. Le passage transplacentaire du virus peut être responsable de mort foetale ou d'une rubéole congénitale malformative ou asymptomatique. L’atteinte au cours de l’embryogenèse se traduit par des malformations du système nerveux central, de l'oeil, de l'oreille interne, de l'appareil cardiovasculaire, isolées ou diversement associées. La foetopathie se caractérise par un retard de croissance intra-utérin souvent associé à une hépatosplénomégalie, un purpura thrombopénique et une anémie hémolytique. Les enfants atteints d’un syndrome de rubéole congénitale peuvent présenter une déficience auditive, des malformations oculaires et cardiaques et ultérieurement des maladies de type auto-immune (diabète sucré, dysfonctionnement de la thyroïde).
Prévention et vaccination
Les sérologies sont inutiles pour les personnes ayant reçu deux doses de vaccin (voir les recommandations vaccinales ci-dessous). Si les résultats d’une sérologie confirmant l’immunité de la femme vis-à-vis de la rubéole sont disponibles, il est inutile de la vacciner. Il n’y a pas lieu de revacciner des femmes ayant reçu deux doses de vaccins quel que soit le résultat de la sérologie. Pour les femmes avec une sérologie prénatale (dépistage obligatoire des IgG depuis 1992) négative ou inconnue, il est recommandé de faire la vaccination immédiatement après l’accouchement (vaccin vivant contre-indiqué pendant la grossesse).
Références
- Résumé du plan d'élimination de la rougeole et de la rubéole congénitale en France (2005-2010)
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- Avis relatif au schéma vaccinal de la vaccination par le vaccin anti-pneumococcique congugué heptavalent
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- Statistiques sanitaires mondiales 2009.Tableau 3: Maladies infectieuses sélectionnées (OMS)
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- Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer. Argumentaire
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- Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer. Synthèse
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- Surveillance sérologique et prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse
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- Surveillance sérologique et prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse. Argumentaire
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- Surveillance sérologique et prévention de la toxoplasmose et de la rubéole au cours de la grossesse. Synthèse
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- ALD 21. Lupus érythémateux systémique. Protocole national de diagnostic et de soins
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- Estimations des couvertures vaccinales à 24 mois à partir des certificats de santé du 24e mois (2004-2007)
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- Estimation des couvertures vaccinales en secteur libéral à travers l'échantillon généraliste des bénéficiaires en France (2004-2009)
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- Rubéole. Mise à jour des données épidémiologiques 2008-2009.
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- Traitement anti-TNF alpha et suivi de la tolérance : conduite à tenir en cas de vaccination
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- Traitements anti-TNF Alpha et suivi de la tolérance - Fiches pratiques
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- Recommandations générales sur la vaccination des CDC américains - Intervalles et schémas vaccinaux
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- Maladies évitables par la vaccination et vaccins (OMS)
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- Vaccination contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (RRO) dans les armées (lettre)
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- Avenant au calendrier vaccinal contre la rougeole pour les militaires désignés pour servir outre-mer, en OPEX et en affectation embarquée, les professionnels de santé et les pompiers, les incorporés et les femmes en âge de procréer.
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- Avis relatif à la problématique de la rougeole chez la femme enceinte
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- Note de synthèse : position de l'OMS concernant les vaccins antirubéoleux
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- Plan de vaccination suisse
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- Aspects pratiques des vaccinations - Guide des vaccinations 2012
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- Avis relatif aux recommandations vaccinales spécifiques des personnes immunodéprimées ou aspléniques
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- Vaccination trivalente contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (guide 2012)
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- La vaccination contre la rubéole (guide 2012)
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- Vaccination des populations spécifiques (guide 2012)
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- Carnet de vaccination individuel
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- Vaccination : le point sur la rougeole
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- Le guide des vaccinations Edition 2012
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- Argumentaire en faveur de la triple vaccination rougeole-oreillons-rubéole
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- Vaccination pour les personnels de santé
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- Calendriers vaccinaux dans le monde
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- Avis relatif au délai à respecter entre l'administration d'immunoglobulines polyvalentes en post-exposition de la rougeole et du vaccin trivalent ROR
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- Voyages internationaux et santé 2012
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- Rapport relatif au programme national d'amélioration de la politique vaccinale 2012-2017
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- Arrêté du 28 septembre 2012 fixant la liste des vaccins mentionnée à l'article L. 5122-6 du code de la santé publique
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- Avis : réponse à la saisine concernant la liste des vaccins établie pour des motifs de santé publique et mentionnée à l'article L.5122-6 du code de la santé publique
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- Mesure de la couverture vaccinale en France - Sources de données et données actuelles
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- Rapport relatif à la simplification du calendrier vaccinal
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- Arrêté du 4 février 2013 et autres textes fixant la liste des vaccinations que les sages-femmes sont autorisées à pratiquer
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- Questions de vaccination - Brochure 2013
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- Le guide calendrier vaccinal des adolescents et des adultes
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- Rougeole, oreillons, rubéole : les 5 bonnes raisons de se faire vacciner
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- Recos SMV JMJ 2013
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- Avis relatif à la simplification du calendrier vaccinal 2013
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- Avis relatif à la conduite à tenir vis-à-vis des enfants ayant reçu une 1ère dose de vaccin trivalent rougeole-oreillons-rubéole avant l'âge de 12 mois
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- Prise en charge médicale des personnes infectées par le VIH - Recommandations du groupe d'experts - Rapport 2013
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- Questions-réponses sur la vaccination rougeole-oreillons-rubéole
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- Rattrapages vaccinaux chez l'enfant
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- Rapport sur les vaccinations des personnes immunodéprimées ou aspléniques : recommandations
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- Planète Vaccination : Généralités sur la vaccination
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- Planète vaccination : rougeole, oreillons et rubéole
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- Planète vaccination : livret de l'exposition
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- Vaccinations : attitudes et pratiques des médecins généralistes
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- Rougeole : Aide mémoire sur les recommandations vaccinales 2015
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- Vaccination chez les adultes immunodéprimés - Repères pour votre pratique
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- Intervention de Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes - Présentation du plan d'action « pour une rénovation de la politique vaccinale en France »
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- Rapport sur la politique vaccinale de Sandrine HUREL
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- Communiqué de presse - Marisol TOURAINE engage un plan d'action pour la rénovation de la politique vaccinale
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- Guide pour l'immunisation en post-exposition : vaccinations et immunoglobulines
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- Guide sur le stockage et la gestion des vaccins (CDC 2016)
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- Décret no 2016-743 du 2 juin 2016 relatif aux compétences des sages-femmes en matière d'interruption volontaire de grossesse par voie médicamenteuse et en matière de vaccination.
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- Arrêté du 10 octobre 2016 fixant la liste des vaccinations que les sages-femmes sont autorisées à pratiquer
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- Compte rendu du colloque AVNIR "Vaccination des adultes à risque : les associations prennent la parole"
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- Rapport sur la concertation citoyenne sur la vaccination
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- Rapport du Haut Conseil de la santé publique sur la mise en place d'une déclaration obligatoire de la rubéole
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- Articles R2122-1 et R2122-2 du code de la santé publique concernant les examens médicaux obligatoires pour les femmes enceintes
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- Nécessité des rappels vaccinaux chez l'enfant - Exigibilité des vaccinations en collectivité
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- Décision n°2017.0177/DC/SEESP du 30 novembre 2017 du collège de la Haute Autorité de santé portant adoption de la recommandation vaccinale relative à l'immunité induite par les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite ainsi qu'à l'exigibilité des vaccinations en collectivités
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- Article 49 de la Loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 - Obligation vaccinale
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- Le HCSP rappelle que de nombreuses maladies infectieuses sont mal contrôlées, notamment en raison d'une couverture vaccinale insuffisante
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- Avis n°2018.0001/AC/SEESP du 10 janvier 2018 du collège de la Haute Autorité de santé concernant le projet de décret relatif à la vaccination obligatoire, pris en application de l'article 49 de la loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018
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- Décret no 2018-42 du 25 janvier 2018 relatif à la vaccination obligatoire
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- Nouveau carnet de santé de l'enfant
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- Co-administration de vaccins dans le cadre de la campagne de rattrapage vaccinal à Mayotte chez les enfants de 0 à 6 ans
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- Voyageur immunosupprimé : recommandations vaccinales
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- Mise à disposition de doses de Priorix® boîte de 10 doses initialement destinées au marché italien
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- Recommandations temporaire d'utilisation (RTU) - Protocole de suivi des nourrissons traités par un vaccin rougeoleux, des oreillons et rubéoleux vivant (M-M-RVAXPRO ou PRIORIX)
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- Tableau des recommandations vaccinales spécifiques chez les personnes immunodéprimées ou aspléniques
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- Mise à jour 2019 des recommandations de la ligue européenne contre les rhumatismes pour la vaccination des patients adultes atteints de maladies rhumatismales inflammatoires auto-immunes
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- Sclérose en plaque et vaccinations
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- Sclérose en plaque vaccinations Tableaux
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- Relevé épidémiologique hebdomadaire de l'OMS : rougeole et rubéole, poliomyélite, papillomavirus humains et méningocoques
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- Fiche technique - Rattrapage vaccinal en pratique chez les migrants primo-arrivants - Exemples en cas de statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu
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- Fiche technique - Rattrapage vaccinal en population générale - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu
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- Fiche technique - Rattrapage vaccinal en pratique - Exemples en cas de statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu en population générale
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- Fiche technique - Rattrapage vaccinal chez les migrants primo-arrivants en cas de statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu
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- Rattrapage vaccinal en situation de statut vaccinal, incomplet, inconnu ou incomplètement connu en population générale et les migrants primo-arrivants
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- Avis n° 2020.0025/AC/SEESP du 1er avril 2020 du collège de la Haute Autorité de santé relatif au maintien de la vaccination des nourrissons dans le contexte de l'épidémie de COVID-19
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- Avis n° 2020.0035/AC/SEESP du 4 juin 2020 du collège de la Haute Autorité de santé relatif à la reprise des activités de vaccination dans le contexte de la levée des mesures de confinement dans le cadre de l'épidémie de COVID-19
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- Calendrier vaccinal dans les armées 2020 (lettre)
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- Annexe 7 de l'IM n°507224/ARM/DCSSA/ESSD/PS du 30 juin 2020 - Fiches techniques des vaccinations inscrites au calendrier vaccinal 2020 - Classement par ordre alphabétique
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- Fiches pratiques sur la vaccination des personnes atteintes de sclérose en plaques
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- HAS - Avis n° 2021.0025/AC/SEESP du 1er avril 2021 du collège de la Haute Autorité de santé relatif à l'édition 2021 du calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales
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- Recommandations temporaire d'utilisation (RTU) - Protocole de suivi des nourrissons traités par un vaccin rougeoleux, des oreillons et rubéoleux vivant (M-M-RVAXPRO ou PRIORIX) - Version 2 - Février 2020.
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- Annexe 1 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal à l'incorporation pour le personnel susceptible d'être projeté OM-OPEX ou affectation embarquée entre 1 et 5 mois de service
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- Annexe 2 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal 2021 à l'incorporation pour le personnel susceptible d'être projeté OM-OPEX ou affectation embarquée après le 6ème mois de service
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- Annexe 3 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal à l'incorporation des professionnels de santé du service de santé des armées d'active et de réserve
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- Annexe 4 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal 2021 à l'incorporation des militaires servant dans le cadre de la réserve opérationnelle
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- Annexe 5 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal 2021 à l'incorporation des volontaires stagiaires du Service militaire volontaire (SMV)
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- Annexe 6 n° 509295/ARM/DCSSA/DIVESSD/PS du 26 juillet 2021 - Calendrier vaccinal 2021 à l'incorporation des volontaires stagiaires du Service militaire adapté (SMA)
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- HAS - Elargissement des compétences en matière de vaccination des infirmiers, des pharmaciens et des sages-femmes (mise à jour de février 2022)
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- HCSP - Avis relatif aux enjeux de santé publique et au rendez-vous santé des personnes migrantes en provenance des zones de conflits en Ukraine
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- ANSM - L'utilisation de vaccins vivants atténués, comme le ROR ou BCG, doit être différée chez les enfants de mères traitées par infliximab pendant la grossesse ou l'allaitement.
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- Calendrier vaccinal 2022 - Rattrapage des vaccinations de base recommandées pour les enfants à partir d'un an, les adolescents et les adultes jamais vaccinés hors Covid 19
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- ANSM - Vaccins et grossesse : information sur les vaccins disponibles et la conduite à tenir
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- PROQUAD
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- La grossesse : un jour ou l'autre, vous y penserez...Le vaccin contre la rubéole,pensez-y dès aujourd'hui.
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- Vaccination Rougeole-Oreillons-Rubéole. Pour en finir avec ces maladies, faites vacciner votre enfant.
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- Calendrier vaccinal 2023 - Adultes
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- Calendrier vaccinal 2023 - Tableau des vaccinations recommandées pour les personnes âgées de 65 ans et plus
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- Calendrier vaccinal 2023 - Tableaux synoptiques
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- Calendrier vaccinal 2023 - Tableau de transition entre ancien et nouveau calendrier vaccinal de l'enfant et de l'adolescent introduit en 2013
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- Calendrier vaccinal 2023 - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu : Nombre de doses nécessaires (incluant les doses antérieures documentées) et intervalle minimal à respecter selon l'âge lors du rattrapage - Chez les migrants primo-arrivants enfants de 6 à 13 ans
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- Calendrier vaccinal 2023 - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu : Nombre de doses nécessaires (incluant les doses antérieures documentées) et intervalle minimal à respecter selon l'âge lors du rattrapage - Chez les migrants primo-arrivants âgés de 14 ans et plus
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- Calendrier vaccinal 2023 - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu : Nombre de doses nécessaires (incluant les doses antérieures documentées) et intervalle minimal à respecter selon l'âge lors du rattrapage - En population générale
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- Calendrier vaccinal 2023 - Enfants et adolescents
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- Calendrier vaccinal 2023 - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu
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- Calendrier vaccinal 2023 - Statut vaccinal inconnu, incomplet ou incomplètement connu : Nombre de doses nécessaires (incluant les doses antérieures documentées) et intervalle minimal à respecter selon l'âge lors du rattrapage - Chez les migrants primo-arrivants enfants de 1 à 5 ans
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- Calendrier vaccinal 2023 - Tableau de synthèse des contre-indications des vaccins utilisés chez les enfants (se reporter à la notice de chaque vaccin pour une description détaillée)
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- Calendrier vaccinal 2023 - Vaccination des catégories de personnes immunodéprimées suivantes : patients infectés par le VIH, personnes traités par chimiothérapie, personnes recevant une corticothérapie - Hors covid 19
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- Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2023
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- Vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole - Calendrier vaccinal 2023
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- Calendrier vaccinal 2023 - Guyane et Mayotte
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- Calendrier simplifié 2023
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- Recommandations sanitaires pour les voyageurs 2023 (BEH)
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- M-M-RVAXPRO
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- PROQUAD
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- M-M-RVAXPRO
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- M-M-RVAXPRO
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- PROQUAD
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- PROQUAD
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- PROQUAD
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- M-M-RVAXPRO
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- PRIORIX
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- Code de la santé publique. Section 1 : Vaccinations obligatoires (Articles R3111-1 à R3111-4-2)
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- Code de la santé publique : article L. 3111-2
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